TOUS DROITS RÉSERVÉS - COPYRIGHTS CAROLINE CLOUTIER

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PRESSE / PRESS

DESROCHERS, Ariane, « La Revanche des arts contemporains ; Peindre, un travail à temps plein », L’Information, Sainte-Julie, Varennes, St-Amable, 8 octobre 2010, Front page et article en page 16

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NAULT, Sarah-Émilie, « Caroline Cloutier rend hommage aux Automatistes à la Galerie Vincent d’Indy », Média Sud.ca, Rive-Sud de Montréal, 14 janvier 2011, Art, Culture et Patrimoine.

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« Caroline Cloutier rend hommage aux Automatistes à la Galerie Vincent d’Indy »



La délicieuse exposition de l’artiste peintre Caroline Cloutier « L’héritage des Automatistes d’hier » se veut un hommage aux artistes fondateurs et membres de la grande famille des Automatistes. Histoire de souligner le 70e anniversaire du mouvement, la peintre divulgue généreusement une œuvre bordée de couleurs, de brillance et de joie, créée dans la plus grande des libertés.




« L’automatisme est plus contemporain que jamais » explique Caroline Cloutier dans son livret de présentation. «Quand je peins, mon esprit est libre de tout projet ou sujet déterminé. Mes œuvres sont l’expression de cet héritage (celui de Paul-Émile Borduas et des Automatistes) », ajoute-t-elle.




Libre de toutes contraintes donc, le cœur de son exposition regorge de thèmes et de titres d’œuvres souvent inspirées de la nature tel le splendide « Soleil vert » ou ce tableau chaleureux intitulé « Chaudes braises ». Des titres représentatifs de ce que la créatrice a vu et décelé dans sa propre toile, une fois les pinceaux posés, la toile à demi séchée, en plein cœur du processus créatif.

Originale, l’artiste excentrique utilise de nombreux procédés pour faire naître ses bébés, délicatement déposés sur de très grandes toiles et puis de toutes petites. Sur une base d’acrylique, plusieurs techniques viennent agrémenter ses tableaux : de petites roches saupoudrés ici et là, beaucoup de poussière dorée et argentée, quelques morceaux de grillage, des tissus, de nombreuses lignes courbes – symbole universel de liberté artistique -, des formes souvent utilisées comme pochoir, des étampes, des lignes, des objets découpés et collés directement sur la toile (de petits cadenas, des chiffres), des couleurs vives, des mots et énormément de texture, qui donne envie de toucher, malgré l’artistique interdit.

 Caroline Cloutier aime découper. Elle n’hésite pas à percer des trous dans ses œuvres,  les éventrer, leur donner de l’air pour souffler un peu, comme pour l’excellent « Trou de mémoire » tableau verdâtre aussi sublime que saisissant.


Dispersés, un peu timides, quelques poèmes de l’artiste agrémentent et complètent certaines de ses œuvres. Comme pour le tableau « La rose des sables », une œuvre médaillée d’or au Gala-Concours 2010 du Cercle des artistes peintres et sculpteurs du Québec (CAPSQ). En plus de bien peindre, c’est qu’elle sait aussi bien écrire

Celle qui signe CCloutier ou tout simplement Cloutier affirme que c’est « son inconscient qu’elle met sur la toile. » Heureusement pour nous car il semble que cet inconscient soit bordé de bien belles choses. 


L’exposition « L’héritage des Automatistes d’hier » de Caroline Cloutier se tient au Centre multifonctionnel Francine-Gadbois de Boucherville du 12 janvier au 6 février

Vernissage : Le dimanche 16 janvier 2011 à 13h
www.centremulti.qc.ca


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PENVEN, David, « Le geste libre de Caroline Cloutier » Hebdos Montérégiens, Cahier Sortir, 19 mai 2011, Culture, Expositions.



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Il y des appels latents qui attendent qu’un événement se produise pour être entendus. Pour la peintre Caroline Cloutier, c’est après la naissance rapprochée de ses deux enfants que l’appel se fit clameur.
«C’était en 2008. J’étais en plein post-partum. J’avais besoin de sortir de la maison. Puisque j’ai toujours été attirée par l’art, j’ai décidé de suivre des cours de peinture à l’atelier Artlequin. Une professeur a remarqué mon travail et m’a encouragée à poursuivre. De fil en aiguille, j’ai participé à des expositions et je me suis fait ma place», raconte l’artiste dans la jeune trentaine qui réside à Sainte-Julie.







Ses toiles aux couleurs vives éclatées, réalisées à l’acrylique en employant parfois la technique mixte, captivent le regard.


«Lorsque je peins, je fais confiance au hasard. Je ne sais pas d’où me vient l’inspiration. Mon geste est libre, je me laisse aller avec les couleurs. J’exprime mes sentiments, les émotions que je ressens inconsciemment ou non. Je suis toujours surprise du résultat. Il est impossible d’exprimer des sentiments avec franchise lorsque l’art est planifié, calculé, technique, mesuré ou trop réfléchi», déclare-t-elle.

Plus loin


Depuis qu’elle a amorcé son virage artistique, Caroline Cloutier a créé quelque 200 toiles qui se sont retrouvées dans diverses expositions dont à l’Internationale Casa da Cultura, à Cangas en Espagne, en 2010. Ses œuvres font aussi le bonheur des collectionneurs privés et institutions corporatives.
«Je suis allée dernièrement à New York, afin d’y exposer éventuellement», espère-t-elle.

Cette détermination et son talent lui ont permis aussi de récoler son lot de prix et d’honneurs à divers événements artistiques de la région.



Festival d’art contemporain

Voulant démythifier l’art contemporain, Caroline Cloutier a fondé un festival qui réunira les 11 et 12 juin quelque 60 artistes provenant des quatre coins du Québec et même de l’extérieur. Le Festival d’art contemporain, dont la première se déroulera au parc Edmour-J.-Harvey de Sainte-Julie, se veut un événement festif grand public.
«Je veux casser certains préjugés. Chaque artiste, qui pratique dans n’importe quel domaine, a son chapiteau. On retrouvera des sculpteurs, des personnes qui font de l’art numérique, des peintres. Il y aura aussi un spectacle sur scène», souligne l’instigatrice de ce projet, qui a pu compter sur le soutien de la municipalité.


Des prix seront attribués aux œuvres qui auront retenu l’attention du jury et du public.
D’ici là, la peintre sera au Salon international de design intérieur de Montréal (SIDIM), du 26 au 28 mai, à la Place Bonaventure.

Pour en savoir plus sur l'artiste et sur le Festival d'art contemporain de Sainte-Julie, www.ccloutierartiste.blogspot.com









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ROY, Mathilde, « Pleins feux sur l’art contemporain », L'Information de Sainte-Julie, 9 juin 2011, Culture, Festivals.
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La toute première édition du Festival d’art contemporain de Sainte-Julie se tiendra cette fin de semaine, au parc Edmour-J.-Harvey. Comme les événements qui se consacrent spécifiquement à un type d’art se font plutôt rares, l’artiste peintre-sculpteure Caroline Cloutier a décidé de tourner les projecteurs sur un mouvement souvent méconnu du grand public.
Ce sont 61 artistes de partout au Québec et de l’extérieur qui se réuniront pour présenter leurs œuvres et démythifier leur travail. De la peinture à la sculpture en passant par la danse, l’art numérique, la musique et la photographie, le festival se déclinera sous plusieurs disciplines.
La présidente fondatrice de l’évènement, Caroline Cloutier, et sa consœur, Karine Molloy, ont commencé l’année dernière à tester l’intérêt des artistes sur Facebook. «La réponse a été très positive, assure Caroline. Les gens nous disaient: "Enfin un événement pour l’art contemporain!"» Dans la masse de candidatures, les deux organisatrices en ont sélectionné une soixantaine avec l’aide d’un jury constitué d’artistes professionnels anonymes. «On recherchait une diversité de styles, plusieurs disciplines, de l’originalité et un professionnalisme dans les photos envoyées», explique la Julievilloise.
La diversité de styles, ce n’est pas ce qui manquera les 11 et 12 juin prochains. Les danseurs de l’école de danse Karo-Forme ouvriront le festival en matinée et seront suivis sur scène par différents musiciens. Plusieurs artistes, dont des peintres, feront également des démonstrations devant public en plus de présenter de courtes conférences. Beau temps, mauvais temps, des chapiteaux protégeront les artistes.
Sculpture vivante
L’artiste julievilloise Joann Côté participera de manière bien spéciale au festival. Celle qui a étudié en mode y présentera un projet qui mêle sculpture, mode et peinture. «J’ai créé une robe éphémère à partir de journaux, caoutchouc, fil électrique et canettes de bière», décrit Mme Côté en parlant de sa sculpture, intitulée Octobre 70, qui sera portée par un mannequin.
Les articles de journaux découpés sont souvent utilisés dans les œuvres de Joann Côté. Avec sa robe, elle souligne les 40 ans des événements d’Octobre 1970. «Dans mes tableaux aussi j’aime piger dans l’actualité et suivre ce qui se passe. Mes sujets tournent beaucoup autour de la femme», souligne-t-elle.
Selon ses dires, l’art contemporain apporte un nouveau regard sur les choses. «Il faut initier les gens à aller plus loin. C’est comme le vin, il ne faut pas toujours boire le même», compare l’artiste qui exposera aussi sa nouvelle série de toiles, Les Cornus, lors du festival.
Démythification de l’art contemporain
Un autre objectif que s’est donné Caroline Cloutier lors de la création de son Festival d’art contemporain est d’aider la carrière des artistes qui se consacrent à ce type d’art. «C’est plus difficile pour eux de percer que pour les artistes classiques, croit Caroline, parce qu’il existe encore des préjugés.» Selon elle, les gens pensent souvent que les artistes contemporains sont bizarres et reclus.
Énormément de définitions peuvent être empruntées par l’art contemporain. Mais pour son festival, Caroline a dû en bâtir une. «Ce n’est pas seulement de l’art abstrait. L’art contemporain, ça peut être des fleurs, mais elles ne doivent pas être traitées de manière classique. Il faut qu’il y ait une recherche, une originalité», affirme l’artiste.
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Le premier Festival d’art contemporain de Sainte-Julie se tiendra en fin de semaine au parc Edmour-J.-Harvey. Sa présidente fondatrice, Caroline Cloutier, y présentera quelques œuvres.


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DESROCHERS, Ariane, « Publiée dans un recueil international », L'Information de Sainte-Julie, 7 septembre 2011, Culture, Expositions.
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 L'artiste peintre julievilloise Caroline Cloutier vient d'apprendre que deux de ses œuvres seront publiées dans le recueil International Contemporary Artists, dont le troisième volume paraîtra en octobre. Les deux premiers ouvrages, publiés par l'entreprise new-yorkaise I.C.A Publishing, ont réuni chacun plus de 250 artistes provenant d'une quarantaine de pays.
Mme Cloutier se dit d'autant plus fière de sa sélection qu'elle considère cette publication comme en étant une de qualité. «Je trouvais aussi que c'était honnête comme façon de fonctionner étant donné qu'il n'y a pas de frais pour les artistes à part l'achat de deux exemplaires», indique-t-elle. L'artiste à la démarche automatiste a soumis cinq œuvres, mais ignore encore quelles sont les deux qui ont été retenues. (AD)








Deux des cinq œuvres soumises par Caroline Cloutier
paraîtront dans le recueil
International Contemporary Artists vol. 3.




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